GENÈVE
• Comme les pires partis d'extrême droite, la formation genevoise ne se contente pas de désigner des
boucs émissaires comme les frontaliers, elle n'hésite pas non plus à intimider ses adversaires politiques et les
journalistes qui font leur métier. Poggia et Stauffer menacent le vivre ensemble, mais aussi la liberté d'expression.
Aux élections cantonales, l'extrême droite genevoise a enregistré le meilleur score de son histoire et
son entrée ou non au Conseil d'Etat dépend maintenant de la mobilisation de la gauche.