La chronique de Jean-Marie Meilland
• Nous affrontons aujourd’hui trois défis qui s’entremêlent tout en ayant chacun une urgence temporelle différente.
La chronique de Jean-Marie Meilland
• Cette autre forme d’épidémie, c’est la désindustrialisation qui, depuis les années 1970, a touché le Nord développé, tout en s’accompagnant de nombreuses délocalisations vers l’Europe de l’Est et les pays du Sud.
La chronique de Jean-Marie Meilland
• C’est un bien étrange climat dans lequel nous sommes entrés depuis quinze jours. Nous vivons dans un monde bien différent de celui auquel nous sommes accoutumés.
La chronique de Jean-Marie Meilland
• Une critique des besoins semble essentielle dans cette période où il est urgent de remettre en question notre mode de vie si nous voulons sauver la planète
La chronique de Jean-Marie Meilland
• Ces dernières années on entend de plus en plus les autorités et les médias dominants pointer du doigt la violence des opposants, alors qu’en général on jette un voile pudique sur la violence du système et sur celle de ses défenseurs.
La chronique de Jean-Marie Meilland
• On a tendance à réserver le terme de populisme à des phénomènes politiques modernes. Quand on se reporte à l’Antiquité, on est pourtant surpris de découvrir des pratiques politiques qu’on pourrait, semble-t-il plus adéquatement, qualifier de populistes.
Ls chronique de Jean-Marie Meilland
• Il est particulièrement bienvenu de se reporter à la personnalité et à l’œuvre de William Morris (1834-1896), une grande figure des arts anglais du XIXe siècle, qui s’engagea aussi avec ferveur pour la cause socialiste.
La chronique de Jean-Marie Meilland
• Alors que les élections fédérales d’octobre approchent, on constate que la campagne ne fait guère allusion aux échéances gravissimes qui pourraient nous arriver bientôt.
La chronique de Jean-Marie Meilland
• Dans un article paru sur le site alencontre.org, Paul O’Connell écrit de façon critique: «On entend souvent dire dans certains secteurs de la gauche européenne que même si l’Union européenne (UE) est imparfaite, il est important d’y rester et de la réformer pour faire avancer la cause de l’internationalisme».
La chronique de Jean-Marie Meilland
• Parmi les quatre rares personnes nommément invitées au congrès inaugural de la Troisième Internationale en 1919 à Moscou se trouvait un révolutionnaire écossais, John Maclean