A la suite des révélations de Gauchebdo sur les frasques de Claude-Alain Voiblet (notre édition du 1er mars), celui-ci a annoncé à la
rédaction vaudoise commune au Courrier et à La Liberté son intention de porter plainte à l’encontre de
deux de ses ex-compagnes, qui auraient, selon lui, « provoqué les lettres de dénonciation » envoyées à Toni
Brunner. Une troisième plainte vise explicitement la secrétaire de l’UDC vaudoise,
Sandrine Ott. « Par les questions de Gauchebdo, j’ai compris qu’on racontait que j’aurais voulu toucher des
indemnités de chômage en trompant l’administration », « ces accusations ont été faites sur la base de
documents internes à l’UDC Vaud, qui était mon employeur, signataire de la demande pour le chômage ».
Pourtant, dans nos conversations avec Claude-Alain Voiblet, nous n’avons jamais évoqué la question de son
dossier à l’assurance chômage. Le vice-président de l’UDC suisse et coordinateur romand du parti a un petit
problème avec la réalité… et avec les femmes.

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Claude-Alain Voiblet, une personnalité controversée
Chez les blochériens vaudois, le conflit s’envenime autour de la personnalité de Claude-Alain Voiblet et de son « clan ». Le vice-président de l’UDC Suisse et omnipotent coordinateur romand du parti est l’objet d’attaques sur son rôle dans la section lausannoise, comme sur certains aspects de sa vie privée. Notre enquête à lire dans notre édition du 1er mars 2014.